Histoire d'ascenseur
Hier, assemblée générale des anciens darsonvaliens au 15ème étage du ENCPB (école nationale de chimie-physique-biologie, rue Pirandello pour ceux qui connaissent Paris). Je déteste les ascenseurs, mais 15 étages à pied !!!
J’ai dû partir avant la fin pour ne
pas manquer mon train. Je me retrouve seule dans l’ascenseur d’un
bâtiment désert le samedi après-midi. Or, pas de numéro 1. J’appuie sur
le 2 et me voila dans un endroit sombre. Beaucoup de portes mais pas
d’escalier en vue.
Une solution, remonter au 15ème
demander de l’aide. Là, je rencontre un couple qui voulait descendre et
n’y comprenait rien. Nous allons donc chercher une personne qui
connaissait l’école. Celle-ci, après des ennuis avec la porte de l’engin
qui refusait de s’ouvrir, nous descend au 3ème. Victoire ! Me voici dans le hall d’entrée…en pull over.
Il me faut donc remonter chercher ma veste. Mais en haut, la porte refuse de s’ouvrir à cet étage et me voilà à faire le yoyo avec les étages inférieurs. A bout d’idée, je décide d’aller au 14ème et de remonter à pied. Mais où est donc l’escalier ? Il se trouve au bout d’un couloir interminable, et heureusement, il ne faisait pas encore nuit. Me voilà donc récupérant ma veste. Il me faut redescendre et la porte refuse encore de s’ouvrir. Comme j’avais repéré au cours de mes pérégrinations un autre ascenseur, j’y monte et je m’aperçois qu’à part au dernier étage, il ne dessert que les numéros pairs !
La seule solution, descendre au second, et reprendre l’autre ascenseur pour atteindre le 3ème car l’escalier est trop loin. Je n’ai plus qu’à courir pour attraper mon train
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