Je n’ai pas encore fait d’articles sur le jumelage. Je vais laisser l’ordre chronologique pour parler des ukrainiens, car c’est vraiment d’actualité La ville de Romilly est jumelée avec plusieurs villes, dont Ouman, pas très loin de Tchernobyl. Elle avait l’habitude de faire venir des habitants pour certaines manifestations. Là, c’était une chorale. Les ukrainiens avaient l’habitude d’être reçus à l’hôtel, personne n’en voulant à cause de la langue. Ma fille apprenant le russe, nous avons donc demandé à en loger. On nous a attribué un jeune couple. Quelle horreur ! Ils se croyaient punis et demandaient l’interprète à tout prix pour rejoindre leurs copains. Après quelques explications, ils sont restés . Ils avaient la clé, mangeaient à l’hôtel et finalement se plaisaient bien à la maison. Ils passaient la plupart de leur temps dans la baignoire, à croire que ça n’existait pas en Ukraine. Le premier jour, grande discussion avec ma fille et le dictionnaire pour repasser leurs vêtements de
Avant d’en arriver à la maison que j’habite actuellement, je vais ajouter quelques petites précisions. Si bien que l’on soit quelque part, il y a toujours quelques inconvénients. Rien n’est parfait. Pour moi, c’était la sirène. Cela ne me gênait pas centre ville, mais là, à trois maisons de chez moi, il y avait une école avec un de ces engins sur le toit. J’ai été très surprise de voir qu’après les accidents (dont certains la nuit) et les premiers mercredis de chaque mois, elle sonnait tous les dimanches alors que normalement, c’est le samedi. J’ai entendu dire, mais ce n’est peut-être qu’une rumeur, que c’est à cause du curé qui fait sonner ses cloches. Il n’y a tout de même qu’une église pour 5 sirènes. J’ai commencé par me plaindre au maire, qui n’habite pas Romilly et qui m’a répondu : « ah, elles sonnent le dimanche ? » Renseignements pris par lui, c’est par raison de sécurité pour vérifier leur fonctionnement même si elles ont
Cette histoire a plus de 50 ans mais elle m'amuse toujours autant. Je la publie car elle n'apparait jamais sur les blogs. Monsieur l’assureur Je soussigné….chargé des réparations de la toiture du bâtiment central de l’ UNESCO,avenue Kléber, ai l’honneur de vous informer de l’accident suivant, survenu le 20 avril Quand je suis arrivé au bâtiment, j’ai découvert que l’ouragan avait fait tomber du toit du bâtiment quelques briques. J’ai donc installé sur le toit une poutre avec une poulie et j’ai hissé une caisse de briques. Quand j’ai eu réparé le toit, il restait une quantité de briques. J’ai hissé de nouveau la caisse et j’ai attaché la corde en bas. Je suis remonté et j’ai rempli la caisse avec les briques en trop, puis je suis descendu et j’ai détaché la corde. Malheureusement, la caisse de briques était plus lourde que moi et, avant que j’ai su ce qui m’arrivait, la caisse a commencé à descendre, me soulevant de terre d’un
Commentaires
Enregistrer un commentaire